Troyes est un jeu de gestion stratégique pour adultes dans lequel les joueurs sont à la tête d’une riche famille d’un quartier de la ville moyenâgeuse. Il leur faut gérer la répartition de leur population entre les 3 grands ordres : la Chevalerie (pour défendre la ville), la Religion (pour soutenir et bâtir la cathédrale) et la Paysannerie (pour nourrir la ville et développer l’économie).
Errata:
-Lorsqu'un joueur est incapable de se défendre contre un dé noir qu'on lui présente, il perd bien 2 PV mais ne défausse pas ses dés.
-Lorsque l'on place un cube à la cathédrale, on gagne immédiatement 1 point de victoire et 1 ou 2 points d'influence en fonction de ce qui est inscrit au dessus de l'endroit où le cube est placé.
Troyes est un jeu de gestion stratégique pour adultes dans lequel les joueurs sont à la tête d’une riche famille d’un quartier de la ville moyenâgeuse. Il leur faut gérer la répartition de leur population entre les 3 grands ordres : la Chevalerie (pour défendre la ville), la Religion (pour soutenir et bâtir la cathédrale) et la Paysannerie (pour nourrir la ville et développer l’économie).
Bien que son système original soit à base de dés, Troyes n’est pas un jeu où le hasard tient une place prépondérante. Il y est surtout question de placement et de stratégie de développement. La distribution initiale des cartes sur le plateau et l’attribution de cartes d’objectif entre les joueurs donnent aussi au jeu une grande modularité qui assure des parties renouvelées.
Tactique, placement, gestion, prise de risque, calcul, opportunisme et déduction : Troyes est un jeu d’une grande richesse au niveau de ses mécanismes et de ses stratégies. Un excellent titre qui ravira les amateurs avertis et qui synthétise admirablement les principes de la société médiévale :
« Les uns prient, les autres combattent, les derniers travaillent. Ces trois groupes forment un seul tout et ne peuvent être séparés. Ce qui fait leur force, c’est que ceux qui travaillent le font pour les deux autres ordres ; à leur tour, ceux-ci prient ou combattent pour eux. Ainsi, tous trois se soulagent les uns les autres. » D’après Adalbéron, archevêque de Reims, Poème au roi Dagobert, vers 1027.